La garde à vue du professeur de technologie qui avait donné une.gif’ />
Bien sur, la.gif’ />
Ce qui a choqué aussi la profession, c’est l’incurie de l’administration locale. Ah, il a l’air fin, ce " responsable " qui se précipite devant la presse pour charger le professeur, au lieu de dialoguer avec le père pour ramener l’affaire à de plus justes proportions C’était son heure de gloire : il aurait sa photo dans le journal, il allait passer à la télé, il pouvait jouer au pipeul ! Et il a fallu une intervention ministérielle pour que l’élève coupable d’avoir insulté son professeur soit sanctionné ! Aquela de vergonha !
Et ne parlons pas de la condamnation unanime du père de l’élève. Un parent qui n’a rien trouvé de mieux que de revêtir sa tenue de gendarme pour aller demander des explications ! On allait voir ce qu’on allait voir, scrogneugneu A-t-il été entendu par sa hiérarchie pour cet abus de pouvoir ? Car enfin, il a bien utilisé à des fins privées les moyens du service public de gendarmerie, non ? Que fait la police ? Sa hiérarchie, y compris ministérielle, est plus muette que jamais ! Et il ose déposer plainte, ce parent qui n’a pas su éduquer son gosse ! Sait-il que l’article 433-5 du code pénal protége tous les agents chargés d’une mission de service public ? Plutôt que la.gif’ />
La conclusion, entendue sur TF1, je la laisserai à cet ouvrier de l’usine BRS, que son patron voyou déménageait, vidait, et délocalisait clandestinement : « Un pauvre professeur qui met une claque, on le met en garde à vue. Nous, on a demandé la mise en garde à vue du patron, ils veulent pas » Viva lo vertadier cambiament !
Marie Dalenga