Cette r ?union constituait une rupture dans la mani ?re (plus transparente et efficace) ; une rupture aussi sur le fond : ? l’inverse de ce que nous connaissons depuis des d ?cennies, nous allons conna ?tre une baisse de la population des ?l ?ves fr ?quentant les coll ?ges.

Un groupe de travail le 10/9 : d ?nomm ? ? table ronde ?, cette r ?union a permis d’analyser les bases du PPI (?tude d ?mographique d’un bureau d’ ?tudes, pr ?cise). Il a permis aussi un v ?ritable ?change ; il nous a sembl ? ?tre entendu sur un certain nombre de points (importance et fr ?quence des CDEN, TOS, certaines extensions de coll ?ge).

Cette réunion constituait une rupture dans la manière (plus transparente et efficace) ; une rupture aussi sur le fond : à l’inverse de ce que nous connaissons depuis des décennies, nous allons connaître une baisse de la population des élèves fréquentant les collèges.

Un groupe de travail le 10/9 : dénommé « table ronde », cette réunion a permis d’analyser les bases du PPI (étude démographique d’un bureau d’études, précise). Il a permis aussi un véritable échange ; il nous a semblé être entendu sur un certain nombre de points (importance et fréquence des CDEN, TOS, certaines extensions de collège).

En ouverture du CDEN la Fsu est intervenue pour relever :

un point positif : le groupe de travail et le refus de donner en avance la liste des travaux « hors CDEN »

des éléments négatifs : les membres du CDEN aurait dû avoir la liste des travaux proposés au PPI avant le CDEN afin de donner un avis informé. Enfin, la presse faisait état, dès lundi 13, d’éléments du PPI. Pas de réponse excepté d’Estrosi « je vous mets au défi de citer un exemple, dans l’article de Nice-Matin de ce que vous affirmez ». Il y en avait deux : collèges Nice Nord et St Isidore.

Plan Prévisionnel d’Investissement 2004/2010. Nous avons alors renouvelé l’analyse déjà faite en groupe de travail, avec discussion bassin par bassin. Nous n’avons répété que l’essentiel de notre argumentation (qui était basée à la fois sur les demandes des responsables d’établissements et de réflexions d’ensemble sur l’avenir du département. Nous avons de plus questionné le CG sur les propositions de constructions et extension -livre III distribué en séance-. Nous avons pu y faire ajouter l’extension mesurée (2 classes sans doute) de Tende et Breil car le nouveau collège proposé dans la vallée, s’il répond à une progression des effectifs, conserve entier le problème de nomination et de stabilité des personnels nommés sur ces petits établissements. Les extensions permettront d’assouplir et de laisser un temps de réflexion pour la construction du collège supplémentaire.

Globalement, nous sommes satisfaits de ce PPI qui utilise la baisse démographique pour améliorer l’ordinaire (voté à l’unanimité en fin de séance). De multiples interventions de notre part (installations sportives, reconstruction des établissements des centres villes en centre ville, prise en compte des déplacements des élèves, conservation de la diversité sociale des recrutements des collèges) ou des parents (FCPE : accord pour maxi 700 élèves dans un établissements, proposition retenue de fixer la barre à 600 en ZEP) ont été apparemment prises en compte. Bien sûr nous jugerons sur pièces : le CG a proposé un plan pour 2004/2010 avec en cours de route un possible réajustement, afin de conserver « une avance » sur des évolutions démographiques difficiles à mesurer jusqu’en 2015. Le prochain plan 2010/2015 sera subordonné à ces éventuels ajustements. (M.Papi a par exemple annoncé un programme qui pourrait à terme voir 600 logements construits sur le Canton de Gattières)

A noter qu’à partir de janvier 2005, la carte scolaire relèvera du CG.

Le président du CG a promis une réunion à la suite de notre demande d’un bilan technique du précédent PPI (non achevé) et à l’intervention de la FCPE sur les travaux dangereux et non finis du collège Nucéra : à suivre. On pourrait à cette occasion parler des transports scolaires.

Notre dernière intervention n’a pas plus à certains politiques (« ce n’est pas à eux de parler de ça ! ») : nos adhérents, les personnels que nous défendons payant leurs impôts locaux dans les Alpes-Maritimes. Ce plan va-t-il entrainer une hausse de nos impôts ? « Non, car je me suis engagé en arrivant à la présidence, à ne pas les augmenter », nous a répondu le président du CG.